Au tour de Jeanne Sélène de répondre à nos questions.
Merci à elle.
Tu as été sélectionnée pour ce second numéro avec ta nouvelle « S.O.S. », peux-tu expliquer sa genèse ?
J’assistais à une formation en neurologie au sujet de la plasticité cérébrale et le formateur nous a raconté une anecdote au sujet d’un patient. C’est ce qui m’a inspirée pour « S.O.S. ». J’ai ensuite imaginé le contexte et le personnage de la stagiaire en orthophonie pour donner plus de sens à l’histoire.
Plus à l’aise dans un registre particulier ? De quoi aimes-tu parler dans tes histoires ?
J’ai commencé à écrire grâce à l’imaginaire mais j’aime à peu près tous les styles. J’aime utiliser mes histoires pour parler des maux de l’humain : l’âgisme, le sexisme, le spécisme…
Je travaille aussi bien pour les adultes, avec parfois des histoires assez violentes, que pour les plus jeunes.
Quand et comment as-tu commencé à écrire ? Te rappelles-tu…
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